LES PARRAINS DU CONCOURS
Le mot de Dalida MARINARO, présidente de l’association des Amis d’Alain Marinaro, maman d’Alain Marinaro
Le mot de Jacques MANYA, Maire de Collioure
Le Conseil Municipal de Collioure s’associe à moi pour féliciter et encourager encore les organisateurs et pour les assurer de notre indéfectible soutien.
Le mot de Daniel TOSI, compositeur, chef d’orchestre, directeur du Conservatoire à Rayonnement Régional Perpignan-Méditérranée et président du jury depuis la 3 ème édition.
Le mot de Bruno MANTOVANI, compositeur, directeur de cConervatoire National Supérieur de musique de Paris et président du jury des 1ère et 2ème éditions du concours.
Cette participation au jury est aussi pour moi l’occasion de rendre hommage à un camarade d’études qui était un grand pianiste et une personnalité très attachante, Alain Marinaro, avec des qualités musicales hors du commun et sa générosité qui irradiera le concours et inspirera, je l’espère, les différents candidats.
Le mot de Christian Bourquin, Président du Conseil Général des Pyrénées Orientales de 1988 à 2010
Quatre journées entièrement dédiées au piano et à celles et ceux qui l’aiment avec passion ; quatre journées de qualité dont il faut pleinement profiter.
Le mot de Michel Moly, Maire de Collioure de 1989 à 2014
Ce que j’aime dans ce projet, c’est que j’y vois vibrer un hymne à la jeunesse. Tous ces jeunes talents réunis, tous si différents, d’horizons et de cultures les plus diverses, et en même temps, tous les mêmes, porteurs de ce même amour, immense, pour la musique et de la même envie généreuse de le partager avec le plus grand nombre. De jeunes talents qui sont déjà bien plus que des promesses !
C’est aussi l’éternelle jeunesse de ces œuvres de compositeurs de génie, de Bach à Mozart, de Schubert à Liszt… auxquelles les siècles ne feront décidément jamais prendre une ride, comme la nouvelle jeunesse que donnent au répertoire pour piano des compositeurs contemporains inventifs et étonnants !
Quelle belle opportunité que celle qui nous est offerte de pouvoir découvrir tout cela ici, à Collioure, dans une cour de Château, dans une église ou sur la place… C’est aussi cela l’insolence de la jeunesse qui se rit des conventions comme des clivages ou des frontières. C’est aussi cela que nous aimons.